Vous trouverez ici des textes extraits de mes écoutes et lectures "spirituelles". Si un mot, une phrase, une
pensée, touche votre coeur c'est que Dieu vous a fait signe par les mots de ceux qu'Il inspire.
Un événement miraculeux s'est produit en 2012 dans un monastère crétois.
Lors d'une visite du patriarche œcuménique Bartholomée au monastère sacré de Saint-Jean-Baptiste sur l'île de Crète, une colombe blanche est apparue lors de la procession vers l'église.
La colombe s'est d'abord perchée sur le livre de l'Évangile porté par le prêtre. Il y est resté pendant que le patriarche œcuménique vénéra le Saint Évangile.
Alors que le prêtre se dirigeait vers l’église principale du monastère, la colombe est passée du Saint Evangile à l’épaule du prêtre.
Puis elle a volé et s'est reposé sur le kalimavki du père (un chapeau noir porté par les moines et les archimandrites). Tandis que la procession continuait de se diriger vers l’église, la colombe est restée perchée sur le chapeau du prêtre.
Près de l'entrée de l'église, le bel oiseau déploie ses ailes ressemblant à la représentation emblématique du Saint-Esprit familière à tous les chrétiens orthodoxes.
La colombe est restée fermement perchée sur le chapeau du pasteur et a gardé ses ailes déployées pendant que la procession entrait dans l'église.
Un autre prêtre a ensuite pris l'oiseau et l'a relâché à l'extérieur, où il s'est envolé dans le ciel bleu de Crète.
Ce signe miraculeux rappelait les récits scripturaires, documentés dans les quatre évangiles, des événements entourant le baptême de Jésus-Christ par Jean-Baptiste.
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Moulage d'un fragment d'inscription funéraire découvert à Sion vers 1868 : la plaque de Nicétius
Cette inscription constitue l'un des plus anciens témoignages du christianisme en Lorraine, probablement au Vème siècle. Elle reproduit partiellement un carmen, (poème) en hexamètre (vers, grec ou latin, de six pieds) aujourd'hui lacunaire, mais dont les fragments peuvent être rapprochés de formules de poèmes funéraires chrétiens.
L'inscription est dédiée à une personne qui s'appelait "Nice" ou portait un nom formé sur cette racine. Certains auteurs ont proposé d'y retrouver le nom de "Nicetius".
La pierre originale se trouve au Musée lorrain de Nancy
VULTIMUS HIC HONOR EST datus his tibi
SAXIS QVOS PRESTARE debet miseran
DO CVRA PARENTIS NICEti qui nunctu-
MVLO REQVIESCIT IN ISTO. Cum Christo in
CLO DEVOTA MENTE RE surget proemia
SERVARI QVAERIT CERtamini alma
MVLTO CVm
Cet honneur suprême t'est rendu par ces pierres que l'amour d'un père le presse d'accorder à l'infortuné Nicetius, qui repose dans ce tombeau et ressuscitera avec le Christ dans le ciel. Avec confiance il demande de recevoir la douce récompense de ses combats...
Texte reconstitué par l'abbé Thédénat de l'Oratoire, savant épigraphiste, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres (XIXème)
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avec la bénédiction des lectrices Annie et Joëlle et des sous diacres Yves et Eddy
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