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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 22:52

apocalypse_de_st_jean.gif

Croyance universelle, l'Apocalypse continue de hanter les esprits. Ce film troublant fait le lien entre sa dimension historique et religieuse et son visage actuel, celui d'un cataclysme écologique. Depuis toujours, les hommes vivent dans l'angoisse de la disparition du monde. L'apocalypse, qui signifie "révélation" en grec, porte en elle cette symbolique de la catastrophe redoutée, prélude à l'anéantissement total.
Cette croyance universelle, développée par la majorité des religions au cours des millénaires, a considérablement influencé l'histoire des civilisations, entraînant guerres, croisades, colonisations... Aujourd'hui, les catastrophes naturelles telles que les séismes, les éruptions et les épidémies ne sont plus perçues comme le prélude à une punition divine. Mais le progrès a créé de nouvelles manières d'envisager le monde et sa destruction potentielle : la bombe atomique ou le génie génétique sont autant d'inventions humaines susceptibles de se retourner contre leurs créateurs...

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 22:48

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Jean-Marie Pelt, biologiste-écrivain, raconte comment Jésus est entré dans sa vie dans un moment de grande solitude et de dépression. Il décrit comment Jésus, Dieu fait homme, l'a inondé de bonheur.

Le Christ est entré dans mon existence à un moment très difficile. J'ai perdu ma mère dans des conditions pénibles. Mon père est mort. Tout mon environnement familial a disparu. J'étais célibataire, sans enfant et cet état m'a soudain pesé. Se sont greffées de grandes difficultés dans mon travail et je suis rentré dans un état dépressif qui n'a fait que s'aggraver.

À ce moment-là, j'ai rencontré Jésus avec un corps d'homme, un Dieu fait homme. J'étais seul un soir dans une chambre d'hôtel et j'ai été inondé d'un état de bonheur d'une grande intensité, inconnu pour moi jusqu'alors. C'était une rencontre avec quelqu'un de plus grand que moi. J'ai été pris et immergé dans un océan de bonheur... Trois sentiments m'ont enveloppé : amour, paix et joie.

J'avais déjà connu cette impression d'être au ciel mais je n'avais jamais connu une telle intensité et une telle durée. Moi, qui priais de toutes mes forces pour sortir du trou, le Seigneur m'a dit un jour : "Allez, cela suffit, j'en fais mon affaire !".

Ce n'était pas une conversion car j'ai toujours eu la foi. Mais ce fut un retournement complet et une libération par rapport à tout ce que j'avais reçu, petit, de culpabilité. Celle-ci a complètement disparu, remplacée par une sorte d'exigence morale d'un rang supérieur. Ma relation avec les autres a complètement changé. Je ne peux pas vivre si j'ai un problème avec quelqu'un. Il faut absolument que je le règle. Avant, je ne voyais rien, je volais comme le Concorde à haute altitude.

On m'a demandé quelle était la passion de ma vie, si c'était par exemple la botanique. Non ! la passion de ma vie, c'est Dieu. Tout ce que je vis est sous sa lumière et j'ai le sentiment qu'il m'a fait naître à la liberté.

Le conflit entre science et foi est aujourd'hui dépassé.

Nous avons la chance que, dans le christianisme, on accepte que des historiens, des spécialistes, des archéologues travaillent sur les textes sacrés, en aient une approche scientifique, ce qui nous donne un regard nouveau sur la manière de les recevoir. Elle éclaire la question du sens, de la destinée humaine, des fins dernières.

La science apporte beaucoup d'explications, mais ne supprime pas le caractère sacré des textes. Les physiciens qui font de la physique quantique disent qu'on ne peut pas percevoir le réel au moyen de la science. Il y a un autre réel, au-delà de nos sens et de nos instruments, qu'on ne peut pas percevoir. On peut mettre dans ce réel tout ce qu'on voudra.

http://www.croire.com/

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 22:21

davymad--1-.jpg

Le plus grand obstacle à la méditation réside dans l’importance donnée, en Occident, à la personne, dans la mesure où elle est confondue avec le moi.

Pourquoi avoir peur de la dimension impersonnelle, pourquoi la redouter et la considérer comme une erreur ? Comment ne pas comprendre qu’il convient de tout perdre pour tout retrouver « au centuple », à un autre niveau ? Ici tout est paradoxal. Ce sont tout particulièrement les chrétiens qui partagent une telle crainte. En lisant l’Évangile, ils pourraient cependant compendre la réalité du paradoxe… : « Celui qui sauvera sa vie, la perdra » (Mt, 10, 39 ; 16, 25)… Et ce petit texte assez extraordinaire : « Qui perd son âme la trouve ».

Marie-Madeleine Davy, extrait de « Un itinéraire », in L’homme intérieur et ses métamorphoses, Albin Michel, 2005, p. 346.

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